Nos collaborateurs à l’honneur !

Transparence c’est aussi l’histoire d’une équipe fidèle et engagée auprès de ses clients. Ce début d’année est l’occasion de remercier et saluer le travail de nos collaborateurs dont l’implication et la motivation n’ont jamais failli. Chacun à sa manière façonne et contribue à faire grandir l’entreprise, en répondant toujours au mieux aux besoins de nos clients.

Aujourd’hui nous laissons la parole à Jean-Pierre, formateur et auditeur national, qui travaille depuis bientôt 20 ans à nos côtés et qui a la particularité d’être aussi réserviste « actif » à la gendarmerie de la Loire. Notre organisation lui permet d’être disponible et de réaliser ses objectifs dans cette institution exigeante que nous connaissons bien chez Transparence.

Jean-Pierre, pourriez-vous nous expliquer quel est votre poste chez Transparence ?

Je suis auditeur et j’interviens sur tout le territoire. L’essentiel de ma mission consiste à m’assurer que les prestataires sont en conformité avec la réglementation et les cahiers de charges auxquels ils sont soumis, en particulier dans le domaine de la sécurité humaine.

Je suis surtout spécialisé dans les « contrôles terrains ». Ensuite pour compléter les comptes-rendus, je vais chercher les éléments (contrôlés en amont par nos experts) sur nos plateformes « Temps Réel » et « Contrôle Plus ».

 

En quelques mots, pourriez-vous nous décrire votre parcours professionnel avant d’entrer chez Transparence ?

 Au départ j’ai passé un CAP de menuisier-ébéniste, puis je suis parti faire mon service militaire dans la gendarmerie. C’est cela qui m’a mis un peu le pied à l’étrier dans la sécurité et après plusieurs petites expériences, j’ai débuté à un poste d’agent de sécurité. A partir de là, j’ai fait à peu près tous les postes (sauf convoyeur de fonds) ! Cela m’a permis de monter les échelons et de terminer Responsable Régional. Après quelques années et un déclic familial, j’ai choisi de rejoindre Philippe chez Transparence. Nous étions le 1er septembre 2001, cela va bientôt faire 20 ans…

Schéma web-service

Vous occupez également un rôle de réserviste actif dans la gendarmerie ?

Oui tout à fait. Pour rendre cela possible, nous avons convenu d’une organisation dès mon arrivée et avec mon ancienneté, j’ai pu ajouter quelques journées de disponibilité supplémentaires. Aujourd’hui, je travaille généralement chez Transparence du lundi au mercredi et un jeudi sur deux. Cela me permet de libérer tous mes vendredis et un jeudi sur deux ainsi que les week-ends pour la gendarmerie.

J’ai aussi travaillé pour l’éducation nationale en tant qu’instructeur essentiellement dans le domaine juridique et de la malveillance, pour la préparation du CAP et du bac pro sécurité.
Le rythme de travail chez Transparence me permettait cette souplesse-là, mais avec le temps, j’ai souhaité réduire mes activités. Actuellement, je partage donc mon temps entre Transparence et la Gendarmerie.

 

Parfait, pourriez-vous maintenant nous expliquer en quoi consiste votre rôle dans la gendarmerie ?

En tant que réserviste opérationnel, j’interviens dans le même domaine que les actifs sauf que nous ne faisons pas de judiciaire : nous n’intervenons pas sur les enquêtes par exemple. En revanche, nous pouvons intervenir sur des accidents, des rixes ou faire du contrôle routier. Actuellement, nous sommes très présents sur le terrain, afin de contrôler le respect du couvre-feu, dû au COVID.

Nous intervenons aussi sur des missions de renforcement de la sécurité sur des grandes manifestations comme le Tour de France, Paris-Nice ou encore le Critérium du Dauphiné Libéré. A titre personnel, j’interviens aussi sur les Journées de Citoyenneté (JDC – anciennement Journées d’Appel à la Défense). Je suis également surveillant lors des concours de sous-officiers, ou de police judiciaire.

On peut dire que je suis multi-casquettes !

« Transparence et la Gendarmerie (…), ce sont deux milieux complètement différents. Connaître les pratiques permet de rappeler aux agents de sécurité ce qu’est précisément la légitime défense. Sinon il n’est pas possible de transposer d’autres pratiques car les agents de sécurité ne vont pas intervenir de la même manière que des gendarmes. Ils n’ont pas les mêmes prérogatives. C’est complémentaire mais ce n’est pas lié. »

Cela vous permet donc d’évoluer dans deux univers et sur deux missions très différentes ?
Oui c’est d’ailleurs ce qui me plaît. Quand je suis chez Transparence je suis civil, quand je suis en gendarmerie, je suis militaire et j’ai des missions très différentes.
C’est très intéressant, cela change du quotidien, car nous servons notre pays et la population.

Le fait d’être gendarme vous aide-t-il dans le conseil et l’accompagnement auprès de certains clients dans le domaine de la sécurité mais aussi et surtout de la sûreté ?

Oui effectivement, c’est le cas dans le domaine de la sûreté.

Photo-Jean-Pierre-Gendarmerie

Beaucoup de vos clients chez Transparence sont issus des milieux de la gendarmerie, de la police ou de l’armée, n’est-ce pas ?

Oui tout à fait, il y a beaucoup d’anciens policiers, gendarmes, ou militaires qui, arrivés au bout de leur contrat ou en cours de carrière, font le choix de se reconvertir dans la sécurité privée. C’est très lié dans ce cas et très courant comme parcours. Cela tire la sécurité vers le haut, c’est une très bonne chose. 

D’ailleurs le secteur s’est beaucoup professionnalisé, maintenant il faut impérativement un diplôme (CQP, CAP, BP ..) et une carte professionnelle d’agent de sécurité délivrée par la CNAPS pour travailler dans ce domaine.
Le métier évolue, même si malgré tout, il reste encore beaucoup de travail…

Retrouver notre article complet sur la solution qui a été mise en place par Transparence et SafeScore en cliquant ici